Djoudi n’oublie pas sa sœur Fatima Bedar

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Une disparition tragique

Il avait seulement 5 ans à l’époque. Elle, en revanche, était âgée de 15 ans. Malheureusement, elle n’est jamais revenue de cette manifestation sanglante qui s’est déroulée le 17 octobre 1961. Cette manifestation, marquée par la violence policière orchestrée par Maurice Papon, a entraîné la noyade de centaines d’Algériens.

Un événement marquant

Cette tragédie a laissé une empreinte indélébile dans la mémoire collective. Les familles des victimes ont été brisées, et l’absence de réponses et de justice a créé un profond sentiment d’injustice.

Un devoir de mémoire

En tant que journaliste, il est de notre devoir de rappeler ces événements sombres de notre histoire. Il est essentiel de préserver la mémoire des victimes et de faire en sorte que de tels actes ne se reproduisent jamais.

La nécessité d’une réflexion collective

Il est primordial de mettre en lumière les erreurs du passé afin d’éviter de les répéter. Le respect de la dignité humaine et des droits de l’homme doit être une valeur fondamentale de notre société.

Conclusion

En résumé, la disparition de cette jeune fille lors de la manifestation sanglante du 17 octobre 1961 est un rappel poignant des conséquences dévastatrices de la violence et de l’injustice. Nous devons faire en sorte que de tels événements ne se reproduisent jamais et œuvrer pour un avenir plus juste et égalitaire pour tous.


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