Antonin forme un couple heureux avec Roxanne avec qui il partage la même passion pour l’histoire. Au moment de leur rencontre, elle est une étudiante brillante, lui un érudit autodidacte. Les deux vont être amenés à fréquenter la même faculté dionysienne, Paris 8. Le couple vit son idylle jusqu’au soir où la jeune femme perd la vie, renversée par une voiture…
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Lundi 30 novembre en fin d’après-midi, le visage de la future piscine du parc des sports de Marville a été dévoilé. Au terme du processus d’appel d’offres, c’est le groupement d’entreprises mené par GCC qui a été choisi (plutôt que Sogea et Eiffage) par un jury de 15 membres dont Mathieu Hanotin, maire de Saint-Denis et président de Plaine Commune.
« Nous sommes parfaitement alignés sur vos travaux, c’est pour ça que je suis là », a exprimé vendredi 4 décembre, Elisabeth Moreno, la ministre déléguée chargée de l’égalité entre les femmes et les hommes, de la diversité, de l’égalité des chances auprès du Premier ministre en déplacement au siège social du groupe Randstad, leader mondial des services en ressources humaines.
Marie-Luce et Sylviane se sont connues au cours d’un séjour à Cassel (Nord), l’un des plus beaux villages de France, avec la Maison des seniors. Même si elles sortent peu, elles se retrouvent, depuis, pour des courses ou des promenades. Mais pendant ces périodes de confinement, le pas à franchir pour passer la porte est difficile.
« La vie universitaire doit au plus vite pouvoir retrouver son cours normal » ont communiqué les membres du Campus Condorcet (entre autres : Annick Allaigre, présidente de Paris 8, Jean-François Balaudet, président du Campus Condorcet, Christophe Fouqueré, président de l’université Paris Nord Sorbonne) jeudi 3 décembre.
Roselyne Bachelot avance en terrain fléché. Vendredi 4 décembre, la ministre de la Culture était accueillie à la basilique Saint-Denis pour une visite en forme d’opération séduction.
Ce jeudi 3 décembre, à l’image du ciel pluvieux, le mouvement social des agents communaux fait grise mine.
Alors que le Gouvernement a autorisé la reprise du tennis en plein air dès le 28 novembre, le Sdus n’a pas eu l’autorisation municipale d’utiliser les courts extérieurs du stade Auguste-Delaune. Fermés habituellement lors de cette période de l’année, ces courts en terre battue avaient pourtant été retapés par le club afin de rattraper le retard accumulé.
Pour leur 4e match de la saison en Pro A, les messieurs du Sdus TT 93 ont une nouvelle fois été battus par l’AS Pontoise-Cergy (1-3), le mardi 1er décembre. Dans ce derby du nord francilien, les Dionysiens doivent leur point glané au vétéran suédois Pär Gerell, qui s’est imposé dans le 2e face à face contre Quentin Robinot.
En cette soirée de fin novembre, depuis un moment déjà, l’obscurité a enveloppé la ville. En temps normal, les entraînements des rugbymen, footballeurs ou tennismen animeraient Auguste-Delaune. Plongé dans le noir, le parc des sports somnole. En apparence seulement.
La téléconsultation, remboursée depuis un peu plus de deux ans, se démocratise et s’installe dans la durée. Elle a connu un bond dans cette période de crise sanitaire. Fin septembre, elle représentait 5,2% des consultations médicales en Seine-Saint-Denis, contre 0,9% avant la pandémie de Covid-19.
Les « Gilets jaunes Pierrefitte & alentours » (Saint-Denis et Villetaneuse) cherchent des militants et des bénévoles pour préparer un « Noël jaune » avec les jeunes et les enfants dont les familles sont en difficulté. Il devrait avoir lieu dimanche 20 décembre. Des musiciens, chanteurs et comédiens sont aussi recherchés pour animer ce moment convivial et solidaire.
Chez les Al Mohammad on naît en fin d’année. « Je suis née le 30 décembre et mon frère le 31. » Le fiston aussi est du mois de décembre. Mais derrière son masque couleur bordeaux, Nadia Al Mohammad n’a plus le sourire. L’année qui vient de se passer a été particulièrement éprouvante. « En 2020, on s’est vraiment découragés moi et les enfants.
« Marhaba, ça veut dire bienvenue en arabe, s’exclame Souad en parlant de son association. Et rhaba, c’est père en hébreu. Ce nom, on l’a choisi avec ma vice-présidente qui est d’origine juive. » Présidente de l’association Marhaba, elle est entourée d’une bonne dizaine de bénévoles pour une distribution alimentaire, dans l’espace jeunesse Centre-ville, ce mercredi 25 novembre.
Le mardi 24 novembre, le président de la République Emmanuel Macron a fixé le cap du déconfinement en vigueur depuis le vendredi 30 octobre en France. Trois étapes ont été établies afin d’entrevoir une reprise totale de la « vie normale » le 20 janvier, si la situation sanitaire poursuit son amélioration.
Elle aurait pu se contenter de se lover dans des cases, de s’enfermer dans des schémas lui promettant les satisfecit de l’industrie musicale et taire ce qu’elle a sur le cœur. Mais avec Délivrance, son nouvel album paru en septembre, Nawel Ben Kraïem a épousé une trajectoire salvatrice qui ne remet ni en cause son amour pour la pop et la chanson, ni son engagement politique.
« L’IUT de Saint-Denis commence, les autres suivront », plaisante avec modestie Samuel Mayol, directeur de l’Institut universitaire technologique Paris 13. L’établissement qui compte 2 000 étudiants (tous genres confondus) met à disposition des kits de protections périodiques entièrement bio.
C’est un problème qui n’est pas nouveau et même « endémique » selon Arnaud Blanc, représentant FCPE. La situation sanitaire actuelle l’a cependant mis en lumière. « La maîtresse de ma fille était absente pendant dix jours sans être remplacée », témoigne Agnès Phan, parent d’élève à l’école maternelle de l’Hermitage.
« Depuis quelques mois je suis au bout du rouleau », admet Muriel, 59 ans, aidante de sa mère âgée de 90 ans, atteinte de la maladie d’Alzheimer. Son quotidien est rythmé sur la vie de cette dernière. « Nous habitons juste à côté. Tous les matins je vais la voir avant de travailler, puis une auxiliaire de vie vient pour la toilette.
L’image frappe les esprits. Vendredi 27 novembre, 8 h 45 du matin, plus de 150 personnes sont en train de faire la queue sur le trottoir aux portes de la Maison de la solidarité dans le nord de la ville, aux limites d’Épinay-sur-Seine et de Villetaneuse. Ils attendent leur tour pour la distribution de denrées alimentaires des Restos du cœur.
À l’accueil de loisirs Jules-Guesde, ce 25 novembre, dix enfants âgés de 7 à 8 ans ont participé à la deuxième séance d’un atelier de sérigraphie. Cette technique d’imprimerie utilise des sortes de pochoirs, interposés entre la peinture et le support. « De quoi a-t-on besoin ? », interroge l’artiste Zoé Landry. Les mains se lèvent, empressées.
Ce samedi 28 novembre matin, la halle du marché de Saint-Denis sonne creux. Une petite dizaine de commerçants, concentrés principalement autour d’une des trois allées, sont pourtant présents mais, derrière leurs étals, ils attendent patiemment des clients qui n’arrivent qu’au compte-gouttes.
L’affaire aurait pu tourner au drame. Il est environ 18h30 ce lundi 23 novembre, lorsqu’une trentaine d’individus, armés de barres de fer, défoncent la porte de l’appartement d’un locataire qui vit avenue du Président-Wilson à la Plaine.