À la une En ville

Journal de Saint-Denis
/ Merci !

Une du dernier numéro du JSD, mercredi 27 janvier 2021.
Une du dernier numéro du JSD, mercredi 27 janvier 2021.

Merci à vous qui avez accepté d’être photographiés, d’être « portraiturés », d’être interviewés, de nous livrer vos points de vue, d’être nos antennes dans les quartiers, nos relais des luttes, nos informateurs d’événements modestes ou de faits tragiques.

Merci à vous, jeunes stagiaires, collégiens, étudiants en journalisme, en photo, en maquette, qui nous avez apporté votre fraîcheur et votre enthousiasme. Merci à vous qui avez bien voulu participer à cette dernière édition du JSD (1), acteurs sportifs, culturels, associatifs ou politiques, anciens et actuels collaborateurs (pigistes ou permanents), Dionysiennes et Dionysiens.

Vous nous avez écrit, envoyé une photo, un dessin, un graff. Vous avez témoigné par téléphone ou à l’occasion d’une rencontre dans les rues de la ville votre attachement au Journal de Saint-Denis. Merci à vous, lectrices et lecteurs qui nous avez suivis durant ces plus de trois décennies, qui nous avez félicités (c’est gratifiant) ou critiqués (c’est constructif). Ce dernier numéro du JSD est le vôtre, fait en partie par vous, fondamentalement pour vous.

(1) Nous n’avons pas pu passer tous les témoignages reçus dans cette édition du Journal de Saint-Denis, en raison des impératifs de bouclage. Nous avons dû en tronquer certains, faute de place. Toutes nos excuses aux auteurs.

Réactions

Bon débarras
Bon débarras journal de propagande. Allez vous faire embaucher au Kremlin pour diffuser vos torchons...
Merci le JSD ! Courage à nos jeunes journalistes les plus impactés par la fin du journal en pleine crise de la Covid 19... Big up à Yslande Bossé pour son travail de qualité et ses fraîches idées, pour avoir donner de la voix aux Dionysiens qui n'ont point de voix.
Même dans son dernier numéro, ce journal est truffé d'erreurs (fautes de français et d'orthographe en tête) et d'approximation. Même le nom de notre association a légende de photo a été complètement dénaturé. Bien sûr ce journal avait des qualités, mais aussi un grand manque de professionnalisme caractérisé normalement par des articles bien rédigés, sans faute, documentés, et ouverts à tous sans censure de la part de la rédaction. Bon courage à tous ceux qui se retrouvent sans emploi. En espérant qu'un nouveau journal revienne à St Denis. Mais quand on sait que le départ de son dernier responsable a signé la mort du journal faute de remplaçant (les éventuels candidats se sont sauvés devant cette mission impossible), je pense que nos boites à lettres resteront vides un long moment !
Une page de ma vie dionysienne a été arrachée. La cicatrice demeurera. Merci aux journalistes pour ce fabuleux numéro.
Le seul merci c'est celui de cesser! vous allez faire économiser des milliers d'euros à la ville .
Merci de ce trè beau numéro qui donne et permet encore une fois des paroles plurielles. Le vivre ensemble c'est comprendre les raisons de l'autre. Le JSD était le seul journal dde ville de la Seine Saint Denis à ne pas être inféodé à la majorité municipale en place (qu'elle soit de droite, du centre ou de 'l'une des gauches existantes". Je le regretterai. Désormais, les associations, quelle qu'elles soient, n'auront plus le loisir de passer l'info de leur prochjaine initiative. Bonne chance à tous les salariés du JSD, sans oublier son dernier directeur charismatique, Yann Lalande.
Je tombe des nues : je trouve ce numéro d'adieu ce matin dans ma boite. Je ne m'attendais pas à ça, et même si j'ai suivi le départ houleux de Yann Lalande (en donnant d'ailleurs raison à son éditorial) je ne pensais pas que la barque était si fragile. Fragile aussi le financement, que le nouveau maire a décidé d'interrompre. Fragile encore la conjoncture due au covid. Je n'ai pas vécu des décennies comme certains avec le JSD, je suis arrivée trop récemment, mais ce journal m'aidait à apprendre ma nouvelle ville. C'est donc bien triste.
Merci pour tout le JSD, j'ai grandis avec lui, j'ai appris plein de choses en le lisant, je suis triste de savoir que le JSD c'est terminer... . Merci pour tout et bon courage pour la suite. Un lecteur du JSD.
On les sort par la porte, ils rentrent par les fenêtres. Il n'en manque pas un pour maintenant pleurnicher et se défausser: Braouezec, Paillard, Russier, Bagayoko, Brafman,... Ah si, il manque Messaoudene: on a des nouvelles ? Je crains le pire.
Des chiens de garde de l'obscurantisme partent... et hop l'Intérêt Général s'éclot ! Votre journal associatif trouvera sans doute d'autres villes de France et de Navarre, impatientes de vous lire !
Je rejoins Helena, pour quelqu'un qui arrivait à Saint-Denis, ce journal était un beau moyen "d'apprendre sa nouvelle ville". Je ne suis pas dionysien depuis assez longtemps pour me prononcer sur ce qu'on lui reproche, mais je sais que je regretterai ces informations locales joyeuses, et espère qu'il s'en trouvera rapidement un successeur.
Oui, je me souviens de Benoit, éternel curieux, humble et sympathique, ne mélangeant pas les genres ni les copinages, un homme bien quoi ! Benoit tu pouvais tjs l'appeler et il te trouvait tjs une petite place pour tes infos de dernière minutes, quand dil ne pouvait pas il était sincèrement désolé. Un home à hauteur d(hommes et de femmes, oui ce JSD là je l'aimais bien, je le lisais avec plaisir et il m'a accompagné longtemps. Puis notre société à changé, notre ville s'est également modifiée et des esprits mauvais se sont glissés dans des cerveaux faibles. A la lecture de l'édito qui n'a jamais été publié comme édito, je suis tombée de ma chaise, mais pourquoi donc tant de bruit autour de cet édito qui ne fait aucune polémique dans sa rédaction et qui pour une fois produit de la pensée ??!!! Où sont passés les cerveaux d'une partie de cette rédaction qui a vu rouge peut-être trop à cette lecture, sans doute perdus et coincés dans une idéologie sectaire ET malveillante. On passe donc de journalistes à militants, militants qui kidnappent les voyages difficiles d'une pensée qui met du temps à se construire. Militants qui préfèrent la mort de la pensée à la vie de l'information des habitants. Alors, Non ce journal là n'en est plus un, ces journalistes ont oubliés les fondements de leur jobs et la vitale nécessite de l'altérité. L'altérité n'est pas politique ni philosophique, elle EST tout simplement et ne pas le reconnaitre, tenter de la faire disparaitre sous des prétextes fallacieux, c'est nier le réel et nier le réel cela se nomme aussi de la folie. Au revoir donc de beaux souvenirs mais finalement aucuns regrets !