L’immeuble du 31, bd Marcel-Sembat : un squat qui se détériore
L’immeuble du 31, bd Marcel-Sembat est devenu le théâtre d’une occupation illégale qui a duré quatre longues années. Pendant cette période, l’immeuble a subi de nombreux dommages, entraînant une détérioration notable de sa structure et de ses équipements.
La Fédération Française de Triathlon (FFTRI), propriétaire de l’immeuble, se trouve dans l’incapacité financière de couvrir les frais de réparation nécessaires. Face à cette situation, elle a pris la décision de mettre en vente le bâtiment afin de sortir de cette impasse.
Une dégradation inquiétante
Le squat a eu un impact significatif sur l’état général de l’immeuble. Les murs sont marqués de nombreuses traces d’usure, les sols sont abîmés et les installations électriques sont obsolètes. De plus, les infiltrations d’eau ont provoqué des dégâts importants au niveau des plafonds et des planchers.
Cette dégradation n’est pas seulement esthétique, elle pose également des problèmes de sécurité. Les structures fragilisées peuvent potentiellement mettre en danger les occupants et les visiteurs. Il devient donc urgent de procéder à des travaux de rénovation pour rétablir la solidité et la salubrité de l’immeuble.
La vente comme solution
Face à l’ampleur des travaux nécessaires et à l’incapacité financière de la FFTRI, la mise en vente de l’immeuble apparaît comme une solution inévitable. Cette décision permettra à la fédération de récupérer des fonds pour financer les réparations nécessaires et ainsi éviter une détérioration encore plus grave de l’immeuble.
La vente de l’immeuble du 31, bd Marcel-Sembat représente également une opportunité pour un nouvel acquéreur de réhabiliter cet espace et de lui donner une nouvelle vie. Que ce soit pour en faire des logements, des bureaux ou tout autre projet, cette vente offre une perspective intéressante pour revitaliser le quartier.
En somme, la dégradation de l’immeuble du 31, bd Marcel-Sembat après quatre ans d’occupation illégale a contraint la FFTRI à prendre la difficile décision de le mettre en vente. Les travaux de réparation nécessaires étant trop coûteux pour la fédération, la vente apparaît comme la seule solution viable pour restaurer cet immeuble emblématique et lui donner une nouvelle chance de prospérer.