Le débat sur l’armement létal divise la classe politique locale
Ce sujet est au cœur des débats lors de la campagne des élections municipales, et il suscite des opinions divergentes au sein de la classe politique locale. Toutefois, le clivage traditionnel entre la gauche et la droite n’est plus aussi évident.
Des positions contradictoires
D’un côté, certains politiciens, tels que Alexandre Aïdara (LREM) et Mathieu Hanotin (PS), se montrent favorables à l’armement létal. De l’autre côté, nous retrouvons des opposants à cette mesure, parmi lesquels Laurent Russier (maire communiste sortant), Bally Bagayoko (candidat insoumis) et Houari Guermat (candidat du centre et de la droite affilié à l’UDI).
La position de Houari Guermat
Houari Guermat, qui prône une politique de « tolérance zéro » en matière de sécurité, n’est pas favorable à l’armement létal dans un premier temps, bien qu’il n’exclut pas cette possibilité pour l’avenir.
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