Cauchemar en cuisine : liste des restaurants fermés malgré l’intervention du chef pour les sauver

Partagez cet article pour plus de chance 🍀

Le sujet du moment : les amis ! Vous ne croirez jamais ce que je viens de découvrir sur cette fameuse émission « Cauchemar en cuisine ». Je pensais naïvement que le grand chef Philippe Etchebest sauvait tous les restaurants en détresse, mais quelle désillusion ! Figurez-vous que le taux de réussite de ce show culinaire ne serait que de 62,5%. Autant dire que pour certains restaurateurs, c’est plutôt cauchemar après la cuisine ! Permettez-moi de vous servir les détails croustillants de cette histoire sur un plateau d’argent.

Un bilan qui laisse un goût amer

Tenez-vous bien, car les chiffres vont vous couper l’appétit. Sur les 69 établissements que notre chef moustachu a tenté de sauver depuis 2011, seuls 33 sont encore ouverts aujourd’hui. C’est comme si on avait servi un plat sur trois à une table de 69 couverts ! Et encore, certains de ces restaurants rescapés ont changé de propriétaires. Je vous le donne en mille, c’est un bilan plus difficile à avaler qu’un steak trop cuit.

Mais attendez, ce n’est pas fini ! Certains restaurants ont fermé leurs portes plus vite qu’un soufflé qui retombe. Prenez l’Auberge de la Venise Verte à Arçais, elle a tenu sept ans avant de mettre la clé sous la porte en décembre 2023. Ou encore le restaurant « Chez Steph et Ju » à Bourg-lès-Valence, qui n’a même pas eu le temps de digérer son passage à l’émission avant de fermer en 2024. C’est à se demander si le remède n’est pas pire que le mal !

Les ingrédients d’un échec cuisant

Vous vous demandez sûrement pourquoi ces restaurants n’ont pas réussi à garder la tête hors de l’eau malgré l’intervention du chef étoilé ? Eh bien, figurez-vous que les raisons sont aussi variées qu’un buffet à volonté. Certains propriétaires se plaignent de problèmes de trésorerie persistants, comme si le passage d’Etchebest n’avait été qu’un pansement sur une jambe de bois. D’autres évoquent une baisse de fréquentation, comme si les clients avaient soudainement décidé de faire un régime collectif.

Mais ce n’est pas tout ! Il semblerait que certains restaurateurs aient eu du mal à appliquer les changements sur le long terme. C’est comme si on leur avait appris à faire un soufflé parfait, mais qu’ils retournaient à leurs vieilles habitudes dès que les caméras étaient parties. Et ne parlons même pas du délai entre le tournage et la diffusion, qui peut être aussi long qu’une cuisson de gigot à basse température !

Quand la télé-réalité se heurte à la dure réalité

Vous pensez peut-être que Philippe Etchebest abandonne ses protégés comme un chef qui quitte sa cuisine en plein service ? Détrompez-vous ! Il affirme mettre en place un accompagnement de 6 mois après l’émission. Mais entre nous, c’est un peu comme essayer d’apprendre à nager à quelqu’un en le poussant dans le grand bain, non ?

Certains restaurateurs regrettent même le côté « télé-réalité » de l’émission. Je vous le demande : comment peut-on sauver une affaire en difficulté avec des caméras qui vous suivent partout ? C’est comme essayer de faire un soufflé dans un four ouvert ! Et ne parlons pas de ceux qui se sentent « torpillés » par l’émission. On dirait bien que pour certains, le cauchemar continue même après le générique de fin.

Les limites d’une intervention express

Tout bien considéré, je me demande si cette émission n’est pas comme un plat réchauffé : ça peut dépanner, mais ça ne vaut jamais un bon repas fraîchement préparé. Voici les ingrédients qui, selon moi, manquent à la recette du succès :

  • Un accompagnement à long terme pour aider les propriétaires à gérer leur trésorerie
  • Une formation approfondie en gestion d’entreprise pour éviter les erreurs de débutant
  • Un soutien psychologique pour faire face au stress post-émission

Malgré tout, l’émission continue de mitonner de nouvelles saisons. Peut-être qu’un jour, ils trouveront la recette parfaite pour sauver tous ces restaurants en détresse. En attendant, je vous conseille de réserver votre table avec prudence dans ces établissements rescapés. On ne sait jamais, vous pourriez vous retrouver face à une porte close et un chef en pleurs !

Harry L

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Retour en haut